La nutrition est un traitement. Grâce aux consultations on constate des améliorations tels qu’un meilleur niveau énergétique, moins d’irritabilité, plus de concentration, moins de troubles digestifs, une meilleure relation avec la nourriture, une amelioration nette du taux de cholestérol sanguin, de la pression arterielle, de la glycémie, du gras dans le foie etc. Aussi et bien-sûr tous les effets positifs conséquents d’une perte de poids. Aussi pour finir, chose moins évidente à évaluer, la nutrition a des effets long terme tels que la diminution des risques de cancers par exemple et la prévention en général.

Saviez-vous que ?

• Jusqu’à 35 % de tous les cancers peuvent être prévenu en étant actif, en mangeant bien et en maintenant un poids santé. Selon la société candienne des cancers.Déc 2009.

• A healthy diet is one of the best weapons you have to fight cardiovascular disease. The food you eat (and the amount) can affect other controllable risk factors: cholesterol, blood pressure, diabetes and overweight. Selon the American Heart Association Nov. 2010

• People who have excess body fat — especially if a lot of it is at the waist — are more likely to develop heart disease and stroke even if they have no other risk factors. Selon the American Heart Association Nov. 2010

• Adopting a healthy lifestyle is a critical part of preventing or delaying the onset of diabetes and, for those already diagnosed with the disease, keeping it under control.          Selon the American Heart Association Nov. 2010

• L’hypertension est à elle seule responsable de près de la moitié des maladies cardiovasculaires dans le monde, le cholestérol de près d’un tiers. Les modes de vie sédentaires, le tabagisme et l’alimentation comptent pour 20 % chacun. SelonRapport sur la Santé dans le Monde 2002 de L’OMS

• Dans les cas d’hypercholestérolémie : L’approche de base est évidemment celle de la modification des habitudes de vie et en particulier de l’alimentation. Bulletin de la Direction de santé publique de Montréal publié avec la collaboration de l’Association des médecins omnipraticiens de Montréal dans le cadre du programme Prévention en pratique médicale.

• Pour les patients qui sont à risque élevé, on suggère de débuter un traitement médicamenteux immédiatement, et de recommander simultanément les changements d’habitudes de vie qui s’imposent. Pour les patients qui sont à risque modéré ou à risque faible, on recommande la modification des habitudes de vie pendant au moins trois à six mois avant de considérer l’utilisation de médicaments. SelonBulletin de la Direction de santé publique de Montréal publié avec la collaboration de l’Association des médecins omnipraticiens de Montréal dans le cadre du programme Prévention en pratique médicale.

•  Il faut avoir des objectifs réalistes et ne pas s’attendre à une perte de poids de plus de 5 à 10 % dans les six premiers mois de traitement. Une perte de poids de 5 % sera significative et entraînera des modifications bénéfiques de la tension artérielle et des lipoprotéines sanguines.Bulletin de la Direction de santé publique de Montréal publié avec la collaboration de l’Association des médecins omnipraticiens de Montréal dans le cadre du programme Prévention en pratique médicale.

 Voir Programme Perte de poids ou encore le Programme Manger mieux, vivre mieux pour plus d’informations.